Modele physique de donnees relationnel

Ce livre est la suite, dédiée aux bases de données PostgreSQL, des livres Modèle logique de données relationnel et Modèle conceptuel de données de P-A Sunier.
Ce livre vise deux objectifs: Savoir réaliser un modèle physique de données relationnel et le différencier du modèle logique. Ce premier objectif est, essentiellement, de portée pédagogique. Savoir réaliser des APIs de tables. Ce deuxième objectif relève de l'ingénierie des données. Les APIs de tables sont un mécanisme simulant l'encapsulation de l'approche orienté objet à l'aide de déclencheurs (triggers) et de procédures stockées. Les Apis de tables permettent d'implanter, au niveau physique des bases de données relationnelles, des règles métier ou des contraintes logiques que le langage de définition de données SQL-DDL ne permettent pas. Par exemple: une colonne ne doit pas changer de valeur, les manipulations d'une table doivent être auditées et journalisées. Dans une démarche progressive d'apprentissage, le livre présente le modèle physique de données relationnel en deux parties: Un modèle classique formé de tables et de relations entre tables. La représentation graphique des tables montre les colonnes mais aussi les différentes contraintes de tables. Un modèle d'APIs de tables formé de déclencheurs, procédures stockées, séquences et vues. Le livre est formé de six parties: Introduction aux systèmes d'information informatisés d'entreprise. Bases du modèle physique de données relationnel PostgreSQL classique. APIs de tables. Commandes SQL-DDL de consolidation de schéma de base de données relationnelle. Transformation du MLD-R en un MPDR- PostgreSQL. Transformation du MPDR- PostgreSQL en commandes SQL-DDL. De caractère pédagogique, le livre s'adresse aux étudiants et enseignants du domaine des bases de données relationnelles devant garantir l'intégrité des données d'un système d'information. informatisé. Le professionnel pourra confronter sa pratique à la proposition d'APIs de tables du livre et mesurer le bénéfice qu'il peut en retirer au niveau de l'intégrité des données assumée par le système de gestion de base de données relationnelle.