Votre t'En Vas

Votre t'en vas. Votre t'en vas... Vous devenez incontrôlable même si je vous adore. Je ne sais pas si de se sentir désolé pour vous, pour moi, ou les deux et frustré dans mes derniers doigts de printemps. Quand je vous avais besoin de mon âme malade et babiche de mes pourritures de la vie et meurt, vous êtes le patron dans mon dernier souffle le goût macabre de mon silence... Je ne sais pas quelle valeur mon sentiment avait. Je ne saurai pas non plus si cela valait la peine de t'avoir aimé. Je sais que je ressens la même chose que je vous ai donné, et cela me suffit pour ma douleur pourrisse plus. Demandez des microbes enfer, piranhas glisse sur moi-même, le martyr transitant dans les eaux de mes yeux, ce aveugle, ce qui annihile, qui absorbe une minute avec vous avant qu'il ne meure. Je suis ton amour. Votre propre amour, et vous ne le réalisez pas. Vous ne savez pas que lorsque vous mourrez, vous ne vivrez pas tranquillement. Vous preñaras de pierres chaque étape de votre vie comme mort lente à votre coeur sans forme. De vous, l'autre partie je suis et vous ne l'avez pas vu. Le complément qui t'a fait soupirer et maudire. Et si je meurs une partie de vous mourra avec moi. J'étais ta terre, ta racine et ta semence. Le conseil fidèle qui a pris vos mains au jardin de fruits. La mouette qui vous a donné l'air et vous a appris à voler. Le ver qui vous a montré la fétidité de la terre. Les algues qui mettent des secrets marins dans ton ventre. La chanson du coq qui a réveillé vos rêves sombres. La liberté devant la chaîne qui t'as étouffé. Le cadeau de la chaleur à votre rhume... glaçons. Mais j'étais aussi la glace qui abritait ton dos et te libérait pour toujours de ta fièvre éternelle. Aujourd'hui; Je suis au revoir et je n'ai pas d'autre ... Je demande aux microbes de l'enfer. Aux piranhas qui glissent dans mes entrailles. Au martyr qui transite les eaux de mes yeux.À ce moment-là, ça aveugle, ça tue, ça absorbe, une minute avec toi avant de mourir...